mardi, mars 20, 2007

l'actualité du 15e sud, selon M. Lamour


Alerté par le blog de Grégoire Lucas sur le lancement du site commandé par le parachutiste Jean-François Lamour (celui qui, comme sabreur, nous avait fait rêver), je m'empresse de cliquer sur le lien.

Une fois enjambée la propagande habituelle, je suis attiré par l'onglet "actualité du 15e sud" où je suis candidat. Ayant activé le lien, je tombe sur la note suivante (sous le portrait du chef):

"Lundi 19 mars, Nicolas Sarkozy sera l'invité sur France 2 du journal télévisé de 20 h et de l'émission "Complément d'enquête" à 23h15.
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Non, monsieur le ministre, ce soir, l'actualité du 15e sud ce n'est pas Nicolas Sarkozy (le magicien qui croit qu'en légiférant - 10 lois depuis 2004 - on fait baisser la délinquance).


Ce soir l'actualité du 15e sud se résume, hélas, à une tragédie : deux de mes collègues enseignants du lycée autogéré du 15e ont été battus presque à mort (70 jours d'incapacité !) à la sortie du lycée au 393, rue de Vaugirard.

Gageons que, comme après les fusillades du quartier Dupleix et de la rue Saint-Charles, MM. Goujon et Lamour vont nous assurer que la délinquance est en baisse (alors que, dans le 15e, les chiffres disponibles sur le site de la préfecture de police démontrent le contraire) et M. Galy-Dejean de prendre sa plus belle plume d'oie pour écrire, une nouvelle fois, au préfet de police.

Au lieu de confisquer nos libertés (école, sécu, retraites), l'Etat UMP serait mieux inspiré d'assurer leur protection !


Oui, l'UMP est vraiment une autre planète où l'on ne saurait recevoir de nouvelles du 15e sud puisqu'on ne communique plus qu'avec le sommet (l'Elysée que brigue Nicolas Sarkozy ou l'AMA, l'Agence mondiale antidopage dont M. Lamour assure la vice-présidence à Genève).


Face à l'autisme des partisans de l'Ancien régime, la révolution légale que je prône avec Edouard Fillias, candidat dans le 15e nord, est plus que jamais d'actualité.

mardi, février 06, 2007

Hôtel de ville ou agence de com ?


propagande rue du Commerce après les travaux

Le message véhiculé par ces panneaux consiste à montrer avec photo avant, après, comme dans la "réclame" d'autrefois que des travaux ont été fait par la Mairie de Paris qui s'autocongratule.

Tous ceux qui ont vécu dans des pays à parti unique, ne peuvent que s'inquièter
d'une dérive où le pouvoir politique s'adresse aux citoyens avec un objectif non de
l'informer mais de capter son adhésion par le faire-savoir et la reconnaissance.

Il s'agit à la fois d'une démarche de type commercial/marketing et d'infantilisation
des citoyens avec ses propres deniers utilisés par des hommes politiques pour leur auto promotion.

Pour des libéraux qui croient à la rationalité du citoyen et à son sens de la
responsabilité, ces panneaux constituent un symptôme du glissement de la démocratie
vers le gouvernement d'opinion !

Georges Fillias

mercredi, janvier 10, 2007

Bravitude et habitudes



Après avoir annulé son voyage aux Etats-Unis (Mme Clinton, paraît-il, n'était pas chaude à l'idée de poser à côté d'une socialiste), Mme Royal, renoue avec une veille habitude de la politique internationale française : la poignée de main avec les dirigeants communistes. Le proverbe est ici autant de saison qu'en Poitou-Charentes « Comme le disent les Chinois, s'est-elle exclamée, un Chinois qui ne vient pas sur la Grande muraille n'est pas un brave et un Chinois qui vient sur la Grande muraille conquiert la bravitude ».


La liberté a donc trouvé dans l'Empire du milieu un soutien Royal inattendu. On croyait la candidate socialiste dirigiste. Elle est en fait si attachée aux libertés qu’elle en prend même avec les règles de la langue française.




Loïc Auffret


Michel Leter












mercredi, décembre 20, 2006

Guerre des clones à l'UMP 15e : Lamour se prend un Galdin


Après les manipulations des sarkozistes, qui avaient inversé les précédents résultats, M. Alexandre Galdin, "Galy-Dejeantiste" a été élu délégué du comité UMP de la 13e circonscription de Paris.

Nouvel épisode de la guerre des clones qui, faute de débat politique, est la seule perspective que Nicolas Sarkozy offre à la fédération de fans clubs qu’est devenue l’UMP, cette élection constitue surtout un formidable camouflet pour le « parachutiste » Jean-François Lamour qui, avant de subir l’épreuve du suffrage universel en juin, a déjà été désavoué par ses propres militants.

lundi, décembre 18, 2006

Tais-toi et trame !

Scène de liesse boulevard Lefebvre le jour de l'inauguration du T3


Samedi 16 décembre, 17 heures.

Vision dantesque, boulevard des Maréchaux, cet après-midi : sous un ciel bas et lourd et sa pluie obstinée, une cohorte de policiers secoue le badaud d’un concert de sifflets stridents. Les bras bleus moulinent pour accélérer l’entrée des « ouatures » (pouah !) qui risqueraient de gâcher la fête en bouchonnant porte d’Italie.

IL est là (nous disent les affiches car après neuf minutes d’attente on ne le voit toujours pas). Qui ? Le premier ministre chinois ? Un fourgon cellulaire abritant l’ennemi public n°1 ? Madonna ? Non, c’est LE Tram… ce grondement sourd n’est pas l’orage qui approche puisqu’il vibre sous nos pieds. Sous les abris inutilement translucides (est-ce pour laisser passer l'opacité de la politique de la ville ?) les danseurs subventionnés sous la « bonne étoile » de la Région se trémoussent tentant en vain de fabriquer de la fraternité.

Et il arrive enfin.
Dès lors, c’est eux ou lui.
Si les véhicules venant du no man’s land, de l’en decà du périphérique avait le malheur de s’immobiliser la « muraille métallique », la ligne Maginot mobile qui protégera bientôt toute la ville contre « les envahisseurs » ne pourrait serpenter à sa guise, narguer impunément les autres véhicules immobilisés à sa droite, à sa gauche. Comme dit plaisamment Christiane Chavanne sur le blog Alternative libérale12e(http://alternativeliberale12e.over-blog.org/ )« La muraille métallique qui va enfermer Paris à terme, lorsque le tram sera prolongé, avec un tram toutes les 4 minutes, risque de devenir rapidement infranchissable, que ce soit à pied, en métro ou en vélo. Voudrait-on assiéger Paris qu'on ne s'y prendrait pas autrement. »


- Dis papa, c'est encore loin le 15e

- Tais-toi et trame !


Je monte avec mon fils Porte d’Italie me frayant un passage dans une marée humaine sur fond de design aussi criard que les sifflets de la maréchaussée étaient stridents qui nous donne soudain la nostalgie du métro aux heures de pointe.
Le fiston, 7 ans, est d’un naturel curieux et patient. Il est prêt, contrairement à sa forte tête de papa, à beaucoup pardonner à la puissance publique. Il pose des questions sur les détails techniques, s’émerveille de la vue que nous avons à l’approche de la Cité universitaire. Il a raison. Mais après vingt minutes de ce régime à 2 à l’heure et une carcasse toujours plus comprimée, nous craquons.



A ceux qui l'auraient oublié, cette variante (à peine subliminale) de l'étoile rouge du logo de la
Région Ile-de-France, rappelle que nous sommes bien en Soviétie.


Au loin l’inscription « porte de Vanves » sur le bon vieux fer forgé art nouveau de Guimard. Nous retrouvons une boussole. Enfin, nous fendons, le plus sobrement possible, la foule sans visage, qui veut absolument monter sans laisser descendre de crainte d’avoir à attendre le prochain (et les danseurs de hip hop subventionnés, que plus rien n’étonne, continuent à se trémousser sur le quai).

Nous nous engouffrons dans l’accueillante station Porte de Vanves pour goûter à nouveau aux joies du métropolitain.


Après avoir été expulsé jadis pour de bonnes raisons (les besoins de la circulation automobile), comment ce monstre coûteux et encombrant a-t-il pu revenir à Paris ? L’histoire est aussi longue et complexe que celle du collectivisme municipal : 30 ans de délibérations piétinées qui plaidaient pour la rénovation de la petite ceinture mais la place et le souffle me manquant, je vous renvoie aux « dossiers noirs du T3 » constitués par les associations Orbital et Rocade de Paris disponible sur le site du perroquet libéré à l’adresse suivante :
Ce cliché pris lundi 18 décembre à 14h30 donne un avant-goût du refroidissement qui guette les organismes fragiles


















Michel Leter


dimanche, décembre 17, 2006

Y a-t-il un vélo dans Paris ?


Si vous êtes Parisien et si vous aimez le vélo, dites-moi :
1) Où pouvez-vous acheter un vélo ? Vous devez aller (en transports en commun) dans un centre commercial de banlieue où il y a un Décathlon (je ne fais pas de pub mais il n'y a plus de marchands de vélos à Paris) et vous taper à vélo le chemin du retour en essayant de ne pas vous faire frôler par une voiture. Si vous êtes fondu d'Internet, vous achetez un vélo sans l'avoir vu. L'essayer, n'en parlons pas !
2) Si vous arrivez à rentrer chez vous, où pouvez-vous ranger votre vélo ? Si vous avez beaucoup de chance, il y a un local à vélos dans votre immeuble. Il est déjà plein de voitures d'enfants, de poussettes, de trottinettes. Alors, vous montez le vélo dans votre appart. Avec de la chance, vous n'habitez qu'au 1er étage ou vous avez un ascenseur géant. Sinon, vous grimpez vos six étages à pied avec le vélo sur l'épaule ; pas gênant : Vous êtes sportif. Vous faites attention de ne pas érafler les murs de la cage d'escalier ; sinon, gare au syndic. Bon, vous voilà enfin chez vous avec votre vélo. Où le mettre. Si vous êtes un veinard, vous avez un balcon. Sinon, qu'est-ce qui vous reste : La cuisine où on ne pourra plus bouger ? L'exposer au milieu du séjour et regarder la télé à travers les rayons ? Le mettre dans la baignoire si vous en avez une ? L'accrocher au plafond ? Les bobos qui ont un box et qui roulent en Smart ont la place d’y ranger leur vélo. Mais ont-ils vraiment envie de faire du vélo ? La Smart, ça pollue autant qu'une vraie voiture mais ça passe partout et ça se gare n'importe où. Alors, à quoi bon un vélo ?
3) En supposant que vous avez acheté un vélo et que vous avez pu le ranger quelque part, vous allez avoir envie de vous en servir.
Mais où faire du vélo à Paris ? Sûrement pas dans les couloirs élargis où les bus et les taxis se f... de vous comme de l'an quarante. On n'y voit d'ailleurs jamais de vélos. Alors, où ? Sur les boulevards et les avenues où une voie étroite vous est réservée entre, d'un côté les voitures en stationnement qui ouvrent leur portière juste au moment où vous passez, et de l'autre côté les voitures et les camions qui menacent sans cesse de vous heurter et de vous renverser?
Sur les quelques pistes cyclables réservées aux vélos ? Encore faut-il aller jusqu'à ces pistes cyclables où on ne voit guère de cyclistes. Il vous reste les quelques rues tranquilles de votre quartier où vous pourriez tout aussi bien aller à pied s'il ne fallait pas faire marcher à tout prix les fabricants de vélos asiatiques (comme ceux qui ont confectionné votre jean et votre T-shirt).
Il paraît que les esprits fumeux qui règnent à la mairie de Paris envisagent de fermer aux voitures la voie Georges Pompidou (les voies sur berge rive droite) pour la réserver aux vélos. Ca plaira sûrement aux riverains, sauf à ceux qui voudraient sortir de chez eux en voiture dans un quartier bloqué.
Mais faire passer 200 vélos sur les berges de la Seine au lieu de 200 000 voitures, est-ce vraiment la solution ? Sûrement pour les riches cyclistes qui pourront acheter un appart dans ce quartier où les prix vont encore monter (c'est voulu, plus les prix des appartements montent et plus ils risquent de payer l'ISF).

Ce n'est sûrement pas la solution pour le bon peuple de Paris. Mais de quoi se plaindrait-il ? Il a voté.

Jean-Claude Charmetant

Ce pays marche sur la tête


Cela, de plus en plus obstinément depuis trente ans qu’il est gouverné conjointement par des énarques formés à éluder tous les problèmes et à dispenser des discours lénifiants et par des dirigeants syndicaux élevés à l’école de Marx et de Lénine, les uns et les autres plus soucieux de leurs prébendes personnelles que du bien public. Pire, qui prétendent savoir mieux que quiconque ce qui fait le bonheur de chacun : panem et circenses, c’est-à-dire l’assistance pour les moins favorisés, la télévision et le loto pour tous. Avec l’assentiment des media pour qui le travail n’est plus qu’une contrainte ringarde, comme sont ringards la patrie - mais pas l’anti-mondialisme, l’autorité - mais pas la coercition, la morale - mais pas les bons sentiments.

Dans les années soixante, nous enfermions dans des camps, derrière des barbelés, des familles dont les parents et les grands-parents s’étaient faits tuer pour la France à Monte-Cassino et à Verdun ; elles n’avaient eu que le tort de continuer à servir la patrie. Aujourd’hui, logés dans des F4, dans des cités dont on déplore le manque d’humanité mais qui ne sont tout de même plus des camps, tueurs, violeurs, dealers et incendiaires courent impunément.

On foule aux pieds des lois non abolies mais « ringardes » en considérant que tirer à balles réelles sur la police, sur les pompiers et sur les honnêtes gens, violer et brûler ne sont plus des crimes mais de simples incivilités. A fortiori, ces actes ne peuvent menacer en aucune façon la sécurité intérieure du pays qu’il serait impensable d’assurer par une armée volontairement réduite et envoyée sur de multiples théâtres d’opération extérieurs.

Jusqu’aux années soixante toujours, l’école enseignait à tous les enfants les bases communes d’éducation, de caractère, de jugement, permettant la maîtrise de la langue et de la logique nécessaires à leur vie future, civique et professionnelle. Elle constituait, avec le service militaire pour les hommes, un parfait instrument d’assimilation des populations non francophones et une porte ouverte à tous vers l’ascenseur social. Sous la pression d’idéologues majoritairement marxistes, elle a abandonné ses missions pour devenir foncièrement inégalitaire : Seuls, l’argent et le fait de résider dans un quartier « bourgeois » – auxquels s’ajoute, ça et là, le courage de maîtres résolus à instruire réellement – donnent encore droit à l’éducation (c’est pourtant le titre actuel du ministère ad hoc) et à l’instruction (son ancien titre ; pourquoi l’a-t-on abandonné ?).

Par son propre génie, (car l’aide américaine du plan Marshall, nécessaire pour repartir, s’est rapidement tarie) la France a su secréter les « trente glorieuses ». Pourquoi s’est-elle essoufflée depuis, au point de faire fuir à l’étranger ses meilleurs cerveaux tout en créant une pompe aspirante unique au monde pour attirer des populations entières, inaptes à vivre et à travailler dans un pays occidental, sans rien faire pour les y rendre un peu plus aptes ? Au point d’avoir perdu dix places en dix ans dans le classement des pays développés, pour la richesse par habitant ? Au point, malgré les milliards dilapidés en assistance, d’avoir relégué 10 % de sa population en dessous du « seuil de pauvreté » ?

On pourrait multiplier les exemples. Si nous voulons éviter que de tels errements nous conduisent à notre perte, individuelle et collective, comme ont disparu Rome et Byzance puis, au siècle dernier, le Kremlin soviétique, plusieurs actions sont possibles et nécessaires.

1. Dénoncer nos erreurs, comme nous le faisons à Ligne droite, comme le font quelques journalistes courageux comme François de Closets, Florence Guernalec, Ghislaine Ottenheimer ou Ivan Rioufol ; comme le font aussi des intellectuels lucides et révoltés (que les tenants de la pensée unique qualifient de déclinologues) qui multiplient les conférences, les tribunes et qui publient des essais remarquables et souvent remarqués. Qu’on me permette d’en citer quelques-uns (cette liste est loin d’être limitative) : Alain Bourdelat, Nicolas Lecaussin, Bertrand Lemménnicier, Jacques Marseille, Yves Montenay…

2. Rappeler et expliquer nos fondamentaux religieux, culturels ou, plus simplement, logiques et humanistes, comme l’avaient fait Raymond Aron ou Jean-François Revel et comme que font aujourd’hui, avec brio et élégance, Jean-Louis Caccomo, Jean Garello, Jacques de Guenin, Pascal Salin, Philippe Nemo et aussi, ce qui surprend certains qui les croyaient « politiquement corrects », Max Gallo ou Alain Finkieraut.

3. Enfin, établir des propositions concrètes et applicables pour renverser la vapeur, sortir de ce cercle vicieux et repartir enfin sur des bases solides qui préparent réellement l’avenir que notre pays mérite bien, à la fois par ses richesses accumulées et pas encore toutes galvaudées et par les qualités de ses habitants, partout reconnue.

C’est à quoi s’est employée Alternative libérale en réunissant les meilleures compétences pour élaborer une critique raisonnée de la gestion de notre pays et un programme de redressement, publié sur son site. Ce programme qui sera encore affiné, sera celui de ses candidats aux élections présidentielle et législative.. A ce jour, Alternative libérale est le seul parti politique qui présente autre chose qu’un ramassis de mesures démagogiques sans lien entre elles, le seul qui propose un programme cohérent, articulé autour d’une idée centrale : respecter et valoriser des hommes et des femmes libres, responsables et entreprenants. C’est sur des citoyens libres et responsables que doit s’élaborer l’action politique et pour eux qu’elle doit être menée.

Jean-Claude Charmetant

mardi, décembre 12, 2006

Au lieu d'intervenir dans nos vies qu'ils protègent nos rues !


Le premier devoir de l’État est d’assurer la sécurité des personnes et des biens.
Or, comme l’ont démontré ces derniers mois plusieurs incidents graves (fusillades à Dupleix et à Saint-Charles, violences au stade Suzanne Lenglen, racket et agressions sexuelles de mineurs à la sortie des établissements scolaires), l’État ne se donne plus les moyens d’assurer ses responsabilités dans le 15e.
En guise de réponse M. Galy-Dejean, qui n’a aucun pouvoir de police, « écrit » au préfet ; M. Goujon nous assure que la délinquance est en baisse ; on ne connaît pas l’avis de M. Lamour qui semble plus soucieux ces derniers temps de son élection à l’AMA, l’Agence mondiale antidopage, que de la circulation des stupéfiants dans la circonscription où il brigue nos suffrages.
Quant à nos ministres, ils dilapident l’argent public en offrant de guérir tous les maux de l'humanité. Ils relèveront, disent-ils, le commerce et l’industrie française, augmenteront le pouvoir d’achat, éradiqueront la pauvreté (en prélevant toujours plus de taxes) et assureront le développement durable de la planète alors que, dans nos rues, chacun voit bien que ce sont les trafics qui se développent durablement.
Plutôt que de remplir les tâches que le suffrage universel leur a confiées, nos ministres et nos élus s’occupent de ce qui ne les regarde pas : retraites, sécu, logement, transport, école… assez de monopoles et de privilèges ! C’est à nous de choisir !


AU LIEU D’INTERVENIR DANS NOS VIES
QU’ILS PROTÈGENT NOS RUES !



L’insécurité et nos libertés, venez en débattre avec Edouard Fillias (candidat à la présidentielle et aux législatives dans la 12e circonscription) et Michel Leter (candidat dans la 13e circonscription)

lors de notre prochain Café liberté
qui aura lieu le jeudi 14 décembre à 20 heures
au café « Le Commerce »
80, rue du Commerce, métro Commerce.